Etienne, pris dans la spirale de la mauvaise gestion s’est rapproché de CRESUS pour trouver  soutien et accompagnement. Un délai de grâce a été obtenu devant le tribunal d’instance. Il a également obtenu du juge la division de sa dette fiscale en 10 mensualités. Etienne décrit son parcours sur radio CRESUS. 

 

Serkan, ancien gérant de commerce situé à la gare à Strasbourg, a subit les effets de la crise de 2008. Sa société a été liquidée et parce qu’il a garanti sa société sur sa propre personne, il reste redevable des dettes  de sa société: doit-il s’engager vers une faillite civile, spécifique à l’Alsace-Moselle ?

 

François est aussi poursuivi pour ses dettes professionnelles (RSI). Il témoigne comment les problèmes financiers liés à sa société liquidée ont eu un impact conséquent sur sa situation personnelle.

 

Mohamed a vendu des olives en sédentaire pendant environ 1 an. Sa société est en liquidation commerciale. CRESUS l’accompagne depuis le début dans ses démarches administratives.

 

Elisabeth, travailleuse et enthousiaste, a acheté une boulangerie. Malgré son engagement à 200%,  son affaire ne résiste pas aux charges à payer et Elisabeth a très vite été appelée en garantie par ses créanciers. .

 

Philippe, avait créé une Société en nom collectif dont la forme juridique a la particularité d’entrainer en cas de liquidation des actifs, la liquidation des associés. Ses difficultés durent depuis de nombreuses années.

 

Jean, nous livre un témoignage plein de force et d’enthousiasme. Il nous montre à quel point la situation de surendettement nécessite du courage et de la ténacité. On comprend aussi que le retour à l’équilibre financier nécessite un accompagnement circonstancié ainsi que de la rigueur.

 

Alain a déposé un dossier de surendettement, déclaré irrecevable en raison de son statut d’auto-entrepreneur. En parallèle, il a essayé de faire racheter ses crédits et a sollicité 20 établissements différents ! Lui et son épouse retrouveront-ils peu à peu l’équilibre budgétaire ? 

 

Animateur radio : Régis HALTER
Technique : Emmanuel ABELA
Préparation émission : Jean-Emmanuel MEDINA

Bonjour à tous les auditeurs de CRESUS : les fidèles, les intéressés ou simplement les curieux.
 
Vous écoutez radio CRESUS, aujourd’hui  la radio qui vous éclaire !
 
Radio CRESUS à décidé de mettre à l’honneur l’économie sociale et solidaire, cette fameuse « ESS » dont on entend beaucoup parler, mais que l’on a souvent du mal à identifier, à reconnaitre, ou même à comprendre.
 
Cette émission spéciale de Radio CRESUS intitulée - "en Novembre, je suis l’économie sociale et solidaire" s’inscrit dans la 6ème édition du mois de l’ESS qui s’est ouverte ce 24 octobre et se clôturera début décembre.
 
En bref, vous avez tout un mois pour découvrir l’ESS à travers ses   manifestations sociales et solidaires qui anime  votre région.
 
Tout au long de cette émission spéciale, Radio CRESUS a le plaisir de recevoir et d’interviewer de personnes  impliquées dans l’économie sociale et solidaire. Ces acteurs de l’ESS nous apporterons à travers leur regard, leurs expériences et leurs valeurs, leur propre vision de l’ESS et nous donnerons des clés de lecture de  ce monde en devenir.
 
Thématiques traitées et intervenants  : 
 

1 > L’entrepreneuriat social et solidaire, qu’est-ce que c’est ? 

 
Pierre ROTH, directeur de la CRESS ALSACE (Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire d’Alsace), ouvre l’émission, nous parle de la CRESS et nous délivre  les premières clefs de compréhension de l’ESS : immersion garantie ! 
 
Marie-Line WAECHTER, responsable juridique à la Chambre de consommation d’Alsace, nous explique ce qu’est le financement participatif ou crowdfunding.
 
Denis KIENE, chef de projet « Energies partagées en Alsace » décrit comment sa coopérative propose des solutions de valorisation des toitures de bâtiments publics et privés (installations solaires) par le regroupement des ressources. 
 
Henry BEILLET, de « Start Hop », explique comment promouvoir et soutenir les porteurs de projets issus des quartiers sensibles (hors CUS) et des zones rurales d’Alsace.
 

2 > Être salarié de l’ESS implique-t-il une autre approche du travail ? 

 
Farid MERAH, styliste chez « Humeur aqueuse » - association a pour but l’insertion par la création de vêtement- nous révèle son parcours professionnel ancré dans l’ESS. 
 
Richard RICO, salarié, responsable communication chez Start Hop, nous explique comment les valeurs l’ESS se retrouvent dans son propre engagement… 
 

3 > L’ESS au quotidien : une économie proche des gens

 
Jean-Marie GRUNERT, délégué MGEN 067 décrit les valeurs mutualistes et, plus particulièrement pour radio CRESUS du soutien au « club des retraités ». 
 
Catherine SPECKLIN est directrice des « Jardins d’Icare », une association qui assure l’insertion des personnes par le travail de la terre. Les jardins emploient plus de 40 personnes par an, la plupart bénéficiaires du RSA. Créés en 1997, les Jardins d’Icare font partie du réseau Cocagne. 
 
Eric CHARTON, animateur au  « Club des relais Jardin et Compostage » de la Communauté Urbaine de Strasbourg (CUS), encourage le jardin naturel, la gestion responsable des espaces verts, la biodiversité et le compostage domestique sur le territoire de la CUS.
 
Marie-Jo MULLER, responsable Action Sociale Malakoff – Médéric de la Région Est, nous présente le groupe paritaire Malakoff – Médéric, ses valeurs  et décrit  le partenariat avec CRESUS au bénéfice adhérents du groupe  en difficulté financière. 
 

En savoir plus : http://www.lemois-ess.org/

 

 

13/09/2013

Écoutez Lisa sur radio CRESUS : Prise dans l’engrenage du surendettement, Lise explique que sa gestion, depuis plus de 15 ans, est à l'origine de ses difficultés. Dans un premier temps son salaire confortable couvrait ses dettes, mais les aléas de la vie (Pb de santé…) ont contribué à l’enfoncer davantage. Aujourd’hui, à la retraite, elle rembourse 350 €/ mois et sa situation s’est normalisée.

Yvette connait des difficultés en raison de la faiblesse de sa retraite (780 €/mois). La nécessité de faire face au quotidien l’avait poussé à avoir recours à des prêts à la consommation. Mariée plus de 30 ans, et divorcée par deux fois elle s’insurge car ne perçoit que 15 € de  pensions de réversion par mois.

Audrey, a accumulé avec son époux, plus de 30 crédits qui l’ont poussé dans une situation économiquement irrémédiable. Après un dépôt de dossier de surendettement accepté, certains de ses créanciers ont refusé le plan amiable en alléguant sa mauvaise foi. Seul face à ses créanciers, le couple perdra en 1ère instance. Son témoignage nous montre combien le recours à un avocat, sans être obligatoire, est précieux voir fondamental dans des configurations où les créanciers n’entendent pas suivre le plan amiable.

Fatima, nous livre un témoignage vif et haut en couleurs. Elle insiste sur la trop grande facilité à contracter un emprunt motivé par la tentation de la consommation facile. Elle a accumulé des dettes qui l’ont plongé dans une situation irrémédiablement compromise. Elle dit aujourd’hui avoir appris de cette expérience douloureuse.

Jean-Claude, a accumulé des crédits renouvelables alors qu’il était salarié. A la retraite, depuis juin 2013 et devant l’impossibilité de rembourser ses crédits, il a été orienté par l’un de ses créanciers à contacter CRESUS. Son endettement alors de 600€/ mois avalait en  grande partie de sa retraite avoisinant 1050 euros. Depuis, il a bénéficié de l’accompagnement de CRESUS et obtenu  une baisse adaptée de ses échéances.

Enfin, Marc s'est endetté de 40000€ auprès de plusieurs établissements de crédits. Son taux d’endettement avoisinait les 110%. Etabli sur 8 ans, le plan mis en place lui permet de mieux suivre son budget. Son rétablissement financier est bien engagé.

 

Emission spéciale « entrepreneurs » !

Ecoutez la dernière émission de Radio CRESUS consacrée aux entrepreneurs, et les interviews menées par notre expert CRESUS, Michel KNOELL.

Antoine, 56 ans, s’était engagé comme caution à titre personnel pour sa SARL : elle a été liquidée et il galère depuis 3 années pour s’en sortir.

Elisabeth, 50 ans passés, seule avec son fils de 10 ans est effondrée : elle a perdu pied. Son activité d’aide aux personnes, de coaching, a été mise à mal. Elle se souvient de la facilité avec laquelle elle a pu créer son entreprise, il y a 8 ans. Aujourd’hui sa banque la lâche et ses ressources sont saisies à la source : elle est sans rien. Comment s’en sortir ?

Pénélope est une chef d’entreprise active, intelligent et convaincante. Voilà 4 ans qu’elle a crée son entreprise, un magasin. Les crédits ont été faciles à obtenir, peut être trop faciles…

L’activité n’est pas bonne, et la crise de 2008 jouant, l’entreprise périclite. Ce ne pas sans effet sur sa vie de famille.

Gérard avait un bar qu’il exploita pendant 6 ans et vendit en 2010. Ce fut le début des difficultés lorsque les acquéreurs n’ont pas été suivis par leur banque. pour son malheur, les clés du commerce avaient déjà été données. Le commerce ne tourne pas pendant près de 8mois et Gérard décide de le reprendre. Est-il tiré d’affaire pour autant ?

Emile, 65 ans, avait acheté une affaire à Cambrai. Bien mal lui en prit. Ecoutez sur radio CRESUS ses précieux conseils nés de sa douloureuse expérience.

Roger nous parle avec recul et intelligence de la situation de l’entrepreneur à travers son vécu. Ses entreprises ont été mises en difficultés par un système ubuesque : un gâchis économique et social.

Enfin Joseph a déposé le bilan ; il reconnait que le manque de conseils lui a été fatal !

 

 

Marie-Line WAECHTER, responsable juridique à la Chambre de Consommation d’Alsace, Eric Charton, animateur au club relais et compostage de la Communauté Urbaine de Strasbourg , Maître Thierry EDMOND et Régis HALTER de CRESUS sont sur radio CRESUS.

Ecoutez les témoignages inédits de CRESUS : les familles parlent d’argent et montrent le vrai visage des conséquences de leurs difficultés budgétaires. 

Raymonde, Acculée par les dépenses nées du décès de son feu époux  en 2011 s’est tournée vers l’action sociale de PRO BTP qui a proposé, en sus de ses services,  l’accompagnement de CRESUS, son partenaire. Elle a pu négocier un crédit qu’avait souscrit son mari.  Elle décrit comment l’accompagnement est mené  par CRESUS et les recommandations dispensées.

Cécile a subi une baisse d’heures de travail et donc  de ressources  entrainant une accumulation de loyers impayés. 3 mois se sont écoulés avant qu’elle ne contacte l’action sociale de PRO BTP pour un soutien. PRO BTP a orienté Cécile, avec son accord exprès, vers son partenaire CRESUS. D’emblée, CRESUS a conseillé à Cécile de prendre attache très rapidement avec son bailleur et cela a permis d’enrayer le risque d’expulsion. Grâce à l’accompagnement de CRESUS, aujourd’hui elle reconnaît mieux gérer son budget et voit l’avenir différemment. Ecoutez son témoignage.

Etienne,  suite à la  mutation professionnelle de son épouse suivie de la perte de son emploi, explique comment sa famille est tombée dans la spirale de la difficulté budgétaire : prélèvement rejetés, taux d’endettement à hauteur de 90% de leurs ressources, … un créancier leur a conseillé de prendre attache avec CRESUS, ce qu’Etienne fit. Il décrit parfaitement à quel moment il a pris conscience de sa situation de surendettement et comment sa famille a fait face en prenant les devants : Etienne a assigné ses créanciers en justice. Ecoutez son témoignage.

 


Écoutez Nathalie sur radio CRESUS : sa situation évolue depuis son dernier témoignage. Devra-t-elle vendre sa maison pour laquelle, elle et son époux se battent ? Des jugements ont été rendus mais la procédure continue. Marie-France, retraitée, décrit précisément comment sa situation budgétaire s'est dégradée en 6 mois ; tout a commencé par l'achat d'un véhicule, indispensable en raison de son handicap. Son témoignage est exemplaire dans la description de l'engrenage qui peut conduire au surendettement.

INES, salariée, s'est endetté pour 35000€ avec 4 crédits à la consommation. Elle reconnaît que sa mauvaise gestion, depuis 15 ans, est à l'origine de ses difficultés. Elle veut se sortir de cette spirale infernale et s'exprime sur radio CRESUS

Enfin Gérard a connu avec son épouse, alors en recherche d'emploi, une traversée du désert financière : ils pensaient être surendettés. Après analyse de leur budget avec CRESUS, ils constatent que bon nombre de leurs dépenses n'étaient pas maîtrisées. Ils ont décidé de changer leurs habitudes et de suivre leur budget de près : leur rétablissement financier est bien engagé.

Radio CRESUS permet de vous exprimer en cas de difficultés budgétaires naissantes ou installées. Vos témoignages sont une richesse pour les auditeurs qui trouvent dans le vécu, les réponses et les conseils, les clés pour s'en sortir.


DENIS, salarié de l'automobile, revient témoigner sur radio CRESUS et nous expose comment il s'en sort pour respecter son plan de redressement mis en œuvre il y A 2 ans. ROBERT, nous parle lui aussi de son plan en cours et revient sur ce qui l'a conduit au surendettement.

Marie n'est pas surendettée mais témoigne du surendettement de ses parents retraités : en visite chez ses parents, elle a découvert le frigo vide ; de fil en aiguille et de questions en réponses, elle apprend l'inimaginable : 140000€ de crédits à la consommation et la maison familiale sera surement à vendre.

Anne, Professeure et mère de 4 enfants, n'a jamais réussi à se remettre financièrement d'un divorce prononcé il y 20 ans : elle est aujourd'hui surendettée !

Emission spéciale « entrepreneurs » !
Ecoutez l’émission de Radio CRESUS consacrée aux entrepreneurs, et les interviews menées par notre expert CRESUS, Michel KNOELL.

Nos entrepreneurs témoignent de leur condition, de leur engagement sans limites, et comment ils assument seuls le poids du risque de leur entreprise : des témoignages riches d’enseignements et d’humanité. Martin a liquidé son affaire pour laquelle il s’était porté caution. Aujourd’hui sans emploi, il n’arrive plus à faire face aux remboursements des 80 000 € de passif.

Yves, chef d’entreprise associé à 50% dans une affaire qui a périclité, doit lui aussi se battre suite à son engagement personnel. Malade, il risque de ne plus pouvoir faire face à ses mensualités à régler. Comment peut-il s’en sortir ?

Régis, gérant vaillant et combattif, n’a pu éviter la liquidation judiciaire de son entreprise franchisée qui s’est effondrée en 36 mois. Sans activité, il n’a droit à aucune indemnité. Que lui reste-t-il?

Joseph entrepreneur actif depuis 13 années, avait 20 employés. Il pensait être sauvé par un plan de redressement judiciaire qui dura près d’une année, encore restait-il à payer l’AGS…

Cécile, sur un coup de cœur, a repris un fonds de commerce pour son activité d’artisan pâtissier. Les affaires ne furent pas à la hauteur des charges à payer. Son époux, également engagé dans cette affaire, se retrouve par l’effet « domino » en insolvabilité notoire.

Louis, artisan garagiste passionné, après sa longue maladie, est reconnu invalide. Toute sa vie en est bouleversée : Louis était son propre patron, et il n’a plus rien. Il n’a pas procéder d’emblée à la radiation de son entreprise. Pourra-t-il alors bénéficier de la procédure de liquidation de son entreprise ?

Emile, entrepreneur durant 15 années, responsable de 40 salariés, s’est progressivement engagé personnellement pour sa société pour garantir au final plus d’un million d’euros. Son entreprise, fragilisée par la crise et le manque de courage des banquiers, n’a pas survécu. Sans revenu, sans protection sociale, frappé par l’infamie de la liquidation judiciaire, il nous parle des valeurs d’adaptabilité et de changement.

Georges, retraité mais toujours homme d’action, s’est associé pour ouvrir un café-restaurant à Saverne, confiant des promesses d’une clientèle (a priori) assurée par la proximité de la gare TGV. Des promesses sans lendemain qui l’amènent à confier sur radio CRESUS : la fermeture de son établissement a été vécue comme « un gros choc » !

Christine et son époux se sont endettés, pour leurs enfants, pour leur maison. Christine témoigne de son périple pour obtenir le bénéfice de la procédure de surendettement et exprime aujourd’hui son dilemme : faut-il accepter le plan de désendettement ou le refuser tel qu’il est pour un autre ? Son témoignage nous aide à comprendre.

Michèle se retrouve dans de grandes difficultés financières suite à sa séparation. Elle n’arrive plus à payer les charges de son appartement qui ont progressivement augmenté de 30% alors que ses revenus, eux, n’ont pas progressé. Comment peut-elle s’en sortir ?

Denis, 51 ans, père de 2 filles dépose un dossier de surendettement suite à la vente à perte de sa maison qui lui laisse 120 000€ de dettes. Il témoigne et nous dit combien le soutien qu’il peut trouver est précieux.

Cathy a crée en 2011 sa société d’aide à la personne. Elle nous donne une leçon de combativité alors que les créances et dettes s’accumulent. Comment garder confiance en soi en pareille situation ?

Ecoutez Jean qui témoigne. Licencié économique en 2008, il ne retrouve pas d’emploi. Il décrit l’engrenage du surendettement : découvert bancaire, crédit renouvelable, impôts impayés…
Jean nous parle de l’énergie qu’il faut mobiliser pour compléter et comprendre un dossier de surendettement mais "ce n’est pas insurmontable » !

 

Laurent, jeune entrepreneur, a dû se résoudre à la liquidation judiciaire de son affaire après 1 an et demi d’activité. Amer, il explique comment sa situation a basculé en quelques semaines, comment la fatigue physique et morale empêche de réagir. Sa dette est de 90 000 euros

Bernard, chauffeur routier, marqué par son divorce, prépare aujourd’hui son dossier de surendettement.

Sonia s’est lancée dans la reprise d’un salon de coiffure il y a près de 2 ans. La seconde année d’activité lui a été fatale : les charges qui s’accumulent et la clientèle de moins en moins présente vont alimenter une démotivation et une lassitude que Sonia ne pourra surmonter. Comment vit-elle la liquidation de sa petite entreprise ?

Alain, gendarme, et son épouse son surendettés. Ils ont accumulés en 20 ans près de 20 crédits pour la plupart renouvelables (revolving). Ils ont déposé un dossier de surendettement mais leur demande a été jugé irrecevable. Comment vont-ils faire face à leurs créanciers ?