Emission spéciale « entrepreneurs » !
Ecoutez l’émission de Radio CRESUS consacrée aux entrepreneurs, et les interviews menées par notre expert CRESUS, Michel KNOELL.
Nos entrepreneurs témoignent de leur condition, de leur engagement sans limites, et comment ils assument seuls le poids du risque de leur entreprise : des témoignages riches d’enseignements et d’humanité. Martin a liquidé son affaire pour laquelle il s’était porté caution. Aujourd’hui sans emploi, il n’arrive plus à faire face aux remboursements des 80 000 € de passif.
Yves, chef d’entreprise associé à 50% dans une affaire qui a périclité, doit lui aussi se battre suite à son engagement personnel. Malade, il risque de ne plus pouvoir faire face à ses mensualités à régler. Comment peut-il s’en sortir ?
Régis, gérant vaillant et combattif, n’a pu éviter la liquidation judiciaire de son entreprise franchisée qui s’est effondrée en 36 mois. Sans activité, il n’a droit à aucune indemnité. Que lui reste-t-il?
Joseph entrepreneur actif depuis 13 années, avait 20 employés. Il pensait être sauvé par un plan de redressement judiciaire qui dura près d’une année, encore restait-il à payer l’AGS…
Cécile, sur un coup de cœur, a repris un fonds de commerce pour son activité d’artisan pâtissier. Les affaires ne furent pas à la hauteur des charges à payer. Son époux, également engagé dans cette affaire, se retrouve par l’effet « domino » en insolvabilité notoire.
Louis, artisan garagiste passionné, après sa longue maladie, est reconnu invalide. Toute sa vie en est bouleversée : Louis était son propre patron, et il n’a plus rien. Il n’a pas procéder d’emblée à la radiation de son entreprise. Pourra-t-il alors bénéficier de la procédure de liquidation de son entreprise ?
Emile, entrepreneur durant 15 années, responsable de 40 salariés, s’est progressivement engagé personnellement pour sa société pour garantir au final plus d’un million d’euros. Son entreprise, fragilisée par la crise et le manque de courage des banquiers, n’a pas survécu. Sans revenu, sans protection sociale, frappé par l’infamie de la liquidation judiciaire, il nous parle des valeurs d’adaptabilité et de changement.
Georges, retraité mais toujours homme d’action, s’est associé pour ouvrir un café-restaurant à Saverne, confiant des promesses d’une clientèle (a priori) assurée par la proximité de la gare TGV. Des promesses sans lendemain qui l’amènent à confier sur radio CRESUS : la fermeture de son établissement a été vécue comme « un gros choc » !