Ramsès connaît des difficultés financières depuis son accident de travail et sa reconnaissance d’invalidité 1ère catégorie. La baisse de ses revenus lui empêche d’honorer l’ensemble de ses dettes s’élevant à 15 000€. Il a déposé un dossier de surendettement à la Banque de France. Quel sort lui est réservé ?
Medhi a fait l’objet d’un licenciement économique en 2005 avec une baisse importante de ses revenus. Il n’arrive plus à retrouver de CDI et ne paient plus ses crédits et assurances. Un dossier de surendettement, déposé en 2008 a été jugé irrecevable. Aujourd’hui, Medhi travaille pour environ 900€ de revenus, ce qui lui permet de payer, petit à petit, ses créanciers.
Jeanne, retraitée de l’enseignement depuis 2013, a déjà déposé un premier dossier de surendettement en 2011 (2 prêts immobiliers à payer). Un plan de redressement a été mis en place. Avec son départ en retraite, Jeanne doit maintenant faire face une baisse sensible de ses revenus : va-t-elle devoir déposer un nouveau dossier de surendettement ?
Jean-Claude, éducateur, connaît une baisse de revenus suite à la perte de son emploi. Jean-Claude est redevable d’arriérés de loyers et de crédits : il est en situation de surendettement. Ayant abandonné l’idée de bénéficier de la procédure de surendettement, Jean-Claude a reconsidéré l’importance d’un dépôt de dossier il y a 2 mois. Aujourd’hui il est en attente de la décision de la commission de surendettement.
Philippe a perdu son emploi et doit supporter les effets de sa procédure de divorce : une année a suffit pour qu’il sombre financièrement à ne plus pouvoir payer ses échéances de prêts ainsi que ses charges courantes. Aujourd’hui au RSA, Philippe s’est adressé à CRESUS pour l’aider à constituer un dossier de surendettement. Sa demande a été recevable et la commission de surendettement lui a accordé un moratoire de 24 mois.