Face à la barbarie du 7 janvier 2015, CRÉSUS exprime toute sa solidarité aux équipes de "Charlie Hebdo" et présente ses plus sincères condoléances aux familles et proches des victimes.
CRESUS et la Fédération Bancaire Française, avec le soutien du Conseil Général et en partenariat avec d'autres associations, ont participé au lancement des Journées du budget dans le Bas-Rhin.
Après 7 ans de combat au service de l'emploi et pas moins de 142 rencontres organisées Paul Landowski sort un ouvrage "L'emploi un combat".
Il y relate son parcours lors de ses périodes de recherche d'emploi et comment Café Contact de l'Emploi a vu le jour : alors qu'il organise une rencontre avec des employeurs dans un café de Strasbourg pour retrouver un emploi, sans le savoir Paul vient de créer un nouveau mode de recrutement qui brise les codes actuels et qui permet à tout demandeur d'emploi de retrouver un job.
Synopsis :
Ce livre est un combat moral, historique, perpétuel et très certainement une mission pour ne jamais accepter le fatalisme, les règles établies et permettre à tout humain de rester digne, debout, d’accéder à un rendez-vous pour un emploi et de retrouver un travail.
Résister, dire non, se battre et affronter sans heurter, mais avec conviction, pour pouvoir briser les idées reçues et vaincre les a priori !
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PRIX DE L'ENTREPRENEUR SOCIAL DE L'ANNÉE : CÉRÉMONIE LE 4 FÉVRIER A 18H30 AU PALAIS BRONGNIART
- Main Forte- Elisabeth Dargent : Entreprise d'insertion qui forme les employés au métier de chauffeur routier à Harnes (Pas de Calais).
- Crésus - Jean-Louis Kiehl : Fédération de lutte contre le surendettement via une plateforme téléphonique et un réseau d'associations, à Strasbourg (Bas-Rhin).
- Ethik Investment - Didier Roche : Groupe d'entreprises qui œuvrent en faveur de la valorisation du handicap par des activités BtoB et BtoC, à Paris, Barcelone et Saint-Pétersbourg.
- Emmaüs Défi - Charles-Edouard Vincent : Association d'insertion à destination des personnes en grande précarité, qui met en place de nombreux projets ave les grandes entreprises, à Paris.
Photo : Dorothée Parent / CG67
La notion de développement durable semble s’être installée en France comme dans la plupart des économies développées
La consommation des ménages a un impact fort sur l’environnement et sur la vie des hommes en général.
Via l’exigence de responsabilité sociale des entreprises - qui recouvre à la fois la prise en compte de leurs impacts sociaux ou environnementaux et la question de la gouvernance - elle traduit un nouveau regard de la société sur l’économie. Mais si ces attentes, notamment relayées par les médias, sont exprimées par les salariés, les O.N.G. ou les riverains, qu’en est-il du « consommateur » ?La tradition américaine de consommateurs organisés et parfois militants trouve son écho au Royaume-Uni dans certains domaines, l’Europe du Nord ou la Suisse exprimant de leur côté des comportements sensibles à une consommation alternative (verte ou solidaire).
En France, de nombreuses enquêtes et études, qu’il s’agisse de recherches sociologiques ou d’approches marketing, témoignent d’une évolution significative. Quelques ordres de grandeur la résument : environ un Français sur quatre prend la nationalité en considération pour choisir une marque ; ceux qui cherchent à concilier consommation, respect de l’environnement et équité sociale forment de un cinquième à un quart de la population ; plus d’un tiers est prêt à acheter des produits issus du commerce équitable, même s’ils sont plus chers...
Prendre en compte les enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux ne va pas de soi. En dépit des référentiels internationaux et des expériences des groupes pionniers, les entreprises cherchent leur voie. Elles subissent des réglementations croissantes et la pression de la communauté financière, d’agences de notation spécialisées, des ONG et de l’opinion pour se comporter de façon éthique, écologique et transparente. On attend d’elles une bonne gouvernance et une maîtrise de leurs risques à long terme. Elles doivent en même temps conserver leur performance et affronter une compétition mondiale.
Ce dilemme réclame un nouveau type de management, plus ouvert sur la société, plus complexe aussi et tourné vers le long terme. Ce modèle est décrit intégralement dans ce livre, véritable "mode d’emploi" du management du développement durable.
Le micro-crédit, levier de l’insertion, vise à faciliter l’accès aux prêts à des personnes à faibles revenus, par un système de garantie, pour leur (re)mettre le pied à l’étrier.
La Caisse des dépôts, chargée de gérer le dispositif, l’a présenté hier à Colmar aux partenaires potentiels alsaciens.
Outil de la loi Borloo, le fonds de cohésion sociale a été créé il y a un an et doté de 73 millions d’euros sur cinq ans.
Son objectif : permettre à des personnes à faibles revenus (chômeurs, titulaires des minima sociaux); exclues des circuits bancaires, d’obtenir un prêt pour leur projet d’insertion sociale ou professionnelle, comme la création d’une entreprise.
Le moyen : l’institution d’un système de garantie avec la prise en charge de 50% du risque par la Caisse des dépôts. Le prêt bancaire garanti par le fonds social peut servir à financer «un projet d’accès à la formation et à l’emploi, comme l’acquisition d’une voiture ou la location d’un logement». «Mais il ne peut pas être utilisé pour acheter un super écran plat pour la Coupe du monde de foot», indique Patrick Baquin, directeur des partenariats à la Caisse des dépôts.
Le système fait intervenir une banque, et un acteur social chargé de repérer 1’emprunteur, de le présenter au financeur et de l’accompagner en ;cas de difficultés. Le Secours catholique est partant dans 27 départements.
Un appel a été lancé aux établissements financiers pour participer à l’opération; le groupe Banques populaires/Crédit Coopératif, la Caisse d’Epargne et le Crédit Mutuel ont été agréés.
> Faire une demande de micro-crédit
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