Face à la barbarie du 7 janvier 2015, CRÉSUS exprime toute sa solidarité aux équipes de "Charlie Hebdo" et présente ses plus sincères condoléances aux familles et proches des victimes. 

Pilier de la démocratie, la liberté d'opinion et d'expression vient de subir une terrible attaque. 
 
Plus que jamais CRÉSUS défend les valeurs fondamentales de liberté, de tolérance et d'humanité.
Unis, fraternels, solidaires : " Nous sommes Charlie " pour la liberté de la presse et toutes les libertés républicaines.
 
 
 

CRESUS et la Fédération Bancaire Française, avec le soutien du Conseil Général et en partenariat avec d'autres associations, ont participé au lancement des Journées du budget dans le Bas-Rhin.

62 actions sont organisées sur tout le territoire : ateliers, jeux, projections, permanences et conseils, tous les ingrédients sont là pour vous réconcilier avec le mot budget !
 
Télécharger le guide "Budget grande vitesse" réalisé dans le cadre de ces journées du budget.
 

Après 7 ans de combat au service de l'emploi et pas moins de 142 rencontres organisées Paul Landowski sort un ouvrage "L'emploi un combat".

Il y relate son parcours lors de ses périodes de recherche d'emploi et comment Café Contact de l'Emploi a vu le jour : alors qu'il  organise une rencontre avec des employeurs dans un café de Strasbourg pour retrouver un emploi, sans le savoir Paul vient de créer un nouveau mode de recrutement qui brise les codes actuels et qui permet à tout demandeur d'emploi de retrouver un job.

Synopsis :

Ce livre est un combat moral, historique, perpétuel et très certainement une mission pour ne jamais accepter le fatalisme, les règles établies et permettre à tout humain de rester digne, debout, d’accéder à un rendez-vous pour un emploi et de retrouver un travail. 

Résister, dire non, se battre et affronter sans heurter, mais avec conviction, pour pouvoir briser les idées reçues et vaincre les a priori ! 

"L’actualité a rattrapé ma naïveté, comme un cheval qui s’emporte au galop et je reste malgré tout optimiste, car je préfère une société qui fait rêver, plutôt qu’une société figée et sans issue. 
La liberté de penser, d’agir, de faire et d'entreprendre sont les outils incontournables d’une société dite libérale au sens de la liberté et d’une société évoluée. Ni droite, ni gauche seront mes maîtres mots, car je les laisse aux professionnels de la politique, qui est un métier à part entière. 
 
Je suis le partisan convaincu d’une société ouverte, libre, progressiste où chacune, chacun d’entre nous peut s’exprimer dans un travail qui lui plaît, sans être stigmatisé dans une quelconque catégorie ou code. Le travail n’est pas une punition : il doit être rendu accessible à tout citoyen. 
 
Nous sommes en quelque sorte l’héritage de nos parents, grands-parents et ancêtres, et perpétuons un mode de pensée et de fonctionnement. Combien il est parfois compliqué, quand nos origines viennent de partout et nulle part, de s’y retrouver, de retrouver nos racines et nos repères ! 
 
L’emploi, un combat est une étape de ma vie et je souhaite vraiment que cet ouvrage remette du baume au cœur de nos concitoyens et puisse créer le débat public de l’accès à l’emploi, mais avant tout, qu’il mette le projecteur sur le retour au bon sens !"
 
"L'emploi : Un Combat" de Paul LANDOWSKI, paru aux éditions Baudelaire dans la collection "Les 3 colonnes".
 
A retrouver dans toutes les bonnes librairies de France, Belgique et Suisse et à lire sans modération !
 
Paul Landowski est le fondateur du « Café Contact de l’Emploi », à retrouver sur le site www.cafecontactemploi.fr
 

  

PRIX DE L'ENTREPRENEUR SOCIAL DE L'ANNÉE : CÉRÉMONIE LE 4 FÉVRIER A 18H30 AU PALAIS BRONGNIART 

Monsieur Geoffroy Roux de Bézieux Président d'Oméa Télécom, vice-président délégué du MEDEF, annoncera le lauréat du Prix de l’Entrepreneur Social lors de la cérémonie officielle qui aura lieu mardi 4 février. Pour cette 7ème édition organisée par le Boston Consulting Group et la Fondation Schwab pour l'Entrepreneuriat Social en France, le lauréat sera sélectionné parmi quatre entrepreneurs sociaux exceptionnels.
 
Soutenir l'insertion professionnelle, combattre le surendettement, promouvoir le handicap ou encore lutter contre la grande exclusion, tels sont les défis que relèvent respectivement les quatre finalistes du Prix de l'Entrepreneur Social de 2012.
 
Ils ont été sélectionnés à partir de trois critères : impact social, innovation et modèle économique viable. 
 
LES FINALISTES
 
  • Main Forte- Elisabeth Dargent : Entreprise d'insertion qui forme les employés au métier de chauffeur routier à Harnes (Pas de Calais). 
  • Crésus - Jean-Louis Kiehl : Fédération de lutte contre le surendettement via une plateforme téléphonique et un réseau d'associations, à Strasbourg (Bas-Rhin). 
  • Ethik Investment - Didier Roche : Groupe d'entreprises qui œuvrent en faveur de la valorisation du handicap par des activités BtoB et BtoC, à Paris, Barcelone et Saint-Pétersbourg.
  • Emmaüs Défi - Charles-Edouard Vincent : Association d'insertion à destination des personnes en grande précarité, qui met en place de nombreux projets ave les grandes entreprises, à Paris.
 
 

La notion de développement durable semble s’être installée en France comme dans la plupart des économies développées 

La consommation des ménages a un impact fort sur l’environnement et sur la vie des hommes en général.

Via l’exigence de responsabilité sociale des entreprises - qui recouvre à la fois la prise en compte de leurs impacts sociaux ou environnementaux et la question de la gouvernance - elle traduit un nouveau regard de la société sur l’économie. Mais si ces attentes, notamment relayées par les médias, sont exprimées par les salariés, les O.N.G. ou les riverains, qu’en est-il du « consommateur » ?La tradition américaine de consommateurs organisés et parfois militants trouve son écho au Royaume-Uni dans certains domaines, l’Europe du Nord ou la Suisse exprimant de leur côté des comportements sensibles à une consommation alternative (verte ou solidaire).

En France, de nombreuses enquêtes et études, qu’il s’agisse de recherches sociologiques ou d’approches marketing, témoignent d’une évolution significative. Quelques ordres de grandeur la résument : environ un Français sur quatre prend la nationalité en considération pour choisir une marque ; ceux qui cherchent à concilier consommation, respect de l’environnement et équité sociale forment de un cinquième à un quart de la population ; plus d’un tiers est prêt à acheter des produits issus du commerce équitable, même s’ils sont plus chers...

 
 

Un manuel complet avec les fondements, les principes et les outils.
 

Prendre en compte les enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux ne va pas de soi. En dépit des référentiels internationaux et des expériences des groupes pionniers, les entreprises cherchent leur voie. Elles subissent des réglementations croissantes et la pression de la communauté financière, d’agences de notation spécialisées, des ONG et de l’opinion pour se comporter de façon éthique, écologique et transparente. On attend d’elles une bonne gouvernance et une maîtrise de leurs risques à long terme. Elles doivent en même temps conserver leur performance et affronter une compétition mondiale.

Ce dilemme réclame un nouveau type de management, plus ouvert sur la société, plus complexe aussi et tourné vers le long terme. Ce modèle est décrit intégralement dans ce livre, véritable "mode d’emploi" du management du développement durable.

www.editions-organisation.com

 

Le micro-crédit, levier de l’insertion, vise à  faciliter l’accès aux prêts à des personnes à faibles revenus, par un système de garantie, pour leur (re)mettre le pied à l’étrier.

La Caisse des dépôts, chargée de gérer le dispositif, l’a présenté hier à Colmar aux partenaires potentiels alsaciens.

Outil de la loi Borloo, le fonds de cohésion sociale a été créé il y a un an et doté de 73 millions d’euros sur cinq ans.

Son objectif : permettre à des personnes à faibles revenus (chômeurs, titulaires des minima sociaux); exclues des circuits bancaires, d’obtenir un prêt pour leur projet d’insertion sociale ou professionnelle, comme la création d’une entreprise.

Le moyen : l’institution d’un système de garantie avec la prise en charge de 50% du risque par la Caisse des dépôts. Le prêt bancaire garanti par le fonds social peut servir à financer «un projet d’accès à la formation et à l’emploi, comme l’acquisition d’une voiture ou la location d’un logement». «Mais il ne peut pas être utilisé pour acheter un super écran plat pour la Coupe du monde de foot», indique Patrick Baquin, directeur des partenariats à la Caisse des dépôts.

Le système fait intervenir une banque, et un acteur social chargé de repérer 1’emprunteur, de le présenter au financeur et de l’accompagner en ;cas de difficultés. Le Secours catholique est partant dans 27 départements.

Un appel a été lancé aux établissements financiers pour participer à l’opération; le groupe Banques populaires/Crédit Coopératif, la Caisse d’Epargne et le Crédit Mutuel ont été agréés.

> Faire une demande de micro-crédit